Que vous soyez collectionneur de frissons, amateur de séries noires ou véritable esthète de l'épouvante, nous avons réunis pour vous un séduisant échantillon de monstres et de fantômes du 7e Art.
De 1950 à 1980, le cinéma d'horreur évolue en explorant les monstres classiques et les menaces atomiques. Les années 60 marquent l'essor du slasher et de l'horreur psychologique, tandis que les seventies révolutionnent le genre avec des effusions de sang de plus en plus spectaculaires, en parallèle au développement des effets spéciaux. C'est également l'heure de gloire de l'occultisme et du surnaturel, dont l'engouement ne s'est pas démenti jusque dans nos films contemporains.
Grâce aux artisans qui œuvrent au sein de notre atelier d'impression et d'encadrement, nos reproductions de sérigraphies anciennes préservent l'authenticité et la patine naturelle des affiches originales.
En attendant le prochain jumpscare - on soupire après lui autant qu'on le redoute ! - laissez vous hanter par notre collection...
Prom Night, 1980, Collection Christophel
Pour Muzéo, les affiches de films d'horreur sont un terrain artistique riche, en plus d'un objet de communication largement diffusé, dont l'objectif premier est de jouer avec la psychologie et l'imagination du spectateur.
Pour cela, les affichistes exploitent fréquemment une palette de couleurs sombres et contrastées — noir, gris, rouge sang, parfois vert ou bleu froid. Ces teintes engagent émotionnellement le spectateur et contiennent à elles seule toute la promesse du film, entre la violence et le romanesque.
Rosemary's Baby, Collection Christophel, Paramount
Souvent dramatique et expressive, la typographie est elle aussi vectrice d'un sentiment d'inquiétante étrangeté. Des polices de caractère renforcent son identité visuelle par de multiples effets. Le lettrage devient irrégulier, gothique, tâché ou déchiré afin d'évoquer le chaos et l'insécurité.
Dans une affiche de film d'horreur, la typographie n'est donc pas seulement fonctionnelle : elle devient un choix artistique en soi, renforçant le ton du film et aidant à évoquer les émotions que le spectateur ressentira.
La Scala della Follia, Collection Christophel, Glenbeigh - Sedgled
Les compositions sont souvent centrées sur le duo bourreau-victime, bien que le "monstre" soit régulièrement le protagoniste principal de l'image. Des effets de flous ou de contrastes violents entre l'ombre et la lumière permettent de fondre les éléments de décors, et de renforcer l'efficacité dramatique de l'image. Ces procédés - qui suggèrent plus qu'il ne montrent - relèvent aujourd'hui des codes bien identifiés de l'illustration et du graphisme à destination du cinéma d'horreur.
The Evil of Frankenstein, Collection Christophel, Hammer Films
Que vous soyez collectionneur de frissons, amateur de séries noires ou véritable esthète de l'épouvante, nous avons réunis pour vous un séduisant échantillon de monstres et de fantômes du 7e Art.
De 1950 à 1980, le cinéma d'horreur évolue en explorant les monstres classiques et les menaces atomiques. Les années 60 marquent l'essor du slasher et de l'horreur psychologique, tandis que les seventies révolutionnent le genre avec des effusions de sang de plus en plus spectaculaires, en parallèle au développement des effets spéciaux. C'est également l'heure de gloire de l'occultisme et du surnaturel, dont l'engouement ne s'est pas démenti jusque dans nos films contemporains.
Grâce aux artisans qui œuvrent au sein de notre atelier d'impression et d'encadrement, nos reproductions de sérigraphies anciennes préservent l'authenticité et la patine naturelle des affiches originales.
En attendant le prochain jumpscare - on soupire après lui autant qu'on le redoute ! - laissez vous hanter par notre collection...
Prom Night, 1980, Collection Christophel
Pour Muzéo, les affiches de films d'horreur sont un terrain artistique riche, en plus d'un objet de communication largement diffusé, dont l'objectif premier est de jouer avec la psychologie et l'imagination du spectateur.
Pour cela, les affichistes exploitent fréquemment une palette de couleurs sombres et contrastées — noir, gris, rouge sang, parfois vert ou bleu froid. Ces teintes engagent émotionnellement le spectateur et contiennent à elles seule toute la promesse du film, entre la violence et le romanesque.
Rosemary's Baby, Collection Christophel, Paramount
Souvent dramatique et expressive, la typographie est elle aussi vectrice d'un sentiment d'inquiétante étrangeté. Des polices de caractère renforcent son identité visuelle par de multiples effets. Le lettrage devient irrégulier, gothique, tâché ou déchiré afin d'évoquer le chaos et l'insécurité.
Dans une affiche de film d'horreur, la typographie n'est donc pas seulement fonctionnelle : elle devient un choix artistique en soi, renforçant le ton du film et aidant à évoquer les émotions que le spectateur ressentira.
La Scala della Follia, Collection Christophel, Glenbeigh - Sedgled
Les compositions sont souvent centrées sur le duo bourreau-victime, bien que le "monstre" soit régulièrement le protagoniste principal de l'image. Des effets de flous ou de contrastes violents entre l'ombre et la lumière permettent de fondre les éléments de décors, et de renforcer l'efficacité dramatique de l'image. Ces procédés - qui suggèrent plus qu'il ne montrent - relèvent aujourd'hui des codes bien identifiés de l'illustration et du graphisme à destination du cinéma d'horreur.
The Evil of Frankenstein, Collection Christophel, Hammer Films