Reproduction de tableau La charmeuse de serpents de Henri Rousseau

 
 
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Sujets : Scène de genre
Mots-clés : 19e siècle, 20e siècle, Art naif, Néo-Impressionnisme, Primitivisme, arbre, cours d'eau, ruisseau, femme, oiseau, plante, serpent, vert
Cette peinture est plébiscitée par nos clients, c'est une valeur sûre.
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Le conseil Muzéo

Le conseil Muzéo pour La charmeuse de serpents de Henri Rousseau

Pour profiter pleinement de «La charmeuse de serpents» de Henri Rousseau, nous vous conseillons le format moyen (60x73 cm) sur toile sur châssis, avec un encadrement moulures dorées à la feuille d'or - fine.
L'oeuvre

La charmeuse de serpents

La charmeuse de serpents est une huile sur toile réalisée par Henri Rousseau en 1907. Commandée par Berthe Delaunay, mère de Robert, elle mesure 169 centimètres de hauteur sur 189 de largeur et est actuellement conservée au musée d’Orsay, à Paris.

 

Cette toile représente une femme, nue, qui joue de la flûte, probablement pour charmer les serpents si l’on en croit le titre. Elle est peut-être noire, mais elle est en tout cas à contre-jour, car la pleine lune en haut à gauche éclaire presque autant que le jour. On ne distingue donc que ses yeux qui brillent dans l’obscurité ainsi que le serpent qu’elle tient sur ses épaules.

 

Cette femme se trouve seule dans une nature luxuriante : à sa droite s’étend une sorte de jungle avec plusieurs variétés de plantes et d’arbres, un serpent enroulé à une branche et des oiseaux qui se cachent entre les feuilles. A sa gauche se tient un grand lac calme duquel sort un flamant rose, entouré d’épais arbustes.

 

Cette toile peut renvoyer à plusieurs grandes sources d’inspiration : le héros Orphée dans la mythologie grecque, qui charme les animaux sauvages avec sa musique, mais aussi le jardin d’Eden, ou encore les différentes espèces présentes au jardin des plantes. Mais le Douanier a la particularité de renverser les attentes : l’Orphée/Eve est noire, le jour laisse place à la nuit, et les immenses plantes, les serpents et le calme environnant donnent à la scène une atmosphère fantastique.

 

Les couleurs vertes et argentées ainsi que la clarté de la lune confèrent à la scène un caractère irréel. La fameuse charmeuse de serpents dont l’identité n’est pas clairement dévoilée confère également un caractère mystérieux. Enfin, « l’inquiétante étrangeté » réside dans le son imaginé de la flûte au milieu de cette jungle silencieuse qu’aucun autre être humain ne peuple.

 

Le Douanier Rousseau est l’un des peintres qui fut le moins apprécié de son vivant, il fut même souvent moqué pour la soi-disant naïveté de son style – qui préfigurera pourtant l’art naïf – mais il fut une grande inspiration pour le mouvement surréaliste. Par exemple, Victor Brauner s’inspire de ce tableau pour La rencontre du 2 bis rue Perrel.

 

Cette oeuvre est une peinture de la période moderne appartenant au style art naïf.

 

Le lieu de conservation de « La charmeuse de serpents » est Musée d'Orsay, Paris, France.

 

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